Coeurs pris, coeur à prendre
L’homme piège la femme en lui prenant son cœur. À cette fin, il prend soin d’utiliser le mot « amour » (faiblesse) en lieu et place de « possession » (puissance), jusqu’à ce que la proie soit attrapée et encagée. Possédée.
Photo prise en 2015 à Paris (Centre Pompidou).